Eric et Laure BUSSER

Eric & Laure BUSSER
37, rue Monge
75005 Paris
tél : 01 56 81 63 22 - 06 08 76 96 80
librairiebusser@orange.fr

Salons - Événements - Expositions

lundi 9 octobre 2017

Festival International des Ecrits de Femmes


FESTIVAL INTERNATIONAL DES ECRITS DE FEMMES

14-15 octobre 2017

Saint-Sauveur en Puisaye






Pour plus de renseignements c'est ici

vendredi 6 octobre 2017

GOLDSMITH Olivier. Le Vicaire de Wakefield.





GOLDSMITH Olivier/Tony Johannot
Le Vicaire de Wakefield (The vicar of Wakefield), par Goldsmith, traduit en français avec le texte anglais en regard, par Charles Nodier, De l’Académie française ; précédé d’une Notice par le même sur la vie et les ouvrages de Goldsmith, et suivi de quelques Notes. - Paris : Bourgueleret (impr. Everat et Compagnie),1838.

In-8, 225 x 147, front., XXVII, 581 p., (1 f.), 10 pl., couverture imprimée. - Demi-maroquin vert sombre à coins, signée de Champs ; filets dorés sur les plats, dos à nerfs richement orné, tête dorée, non rogné, couverture et dos conservés (Champs).
Première édition de la traduction de Charles Nodier d’un des chefs-d’œuvre de l’écrivain anglais Olivier Goldsmith. Ce roman parut pour la première fois en 1766 et raconte les malheurs et la bonne fortune du révérend Docteur Primrose, vicaire de Wakefield, et de sa famille. 

Goldsmith voulut en faire une satire de l’optimisme à la façon de Voltaire, mais n’étant pas parvenu à soutenir un ton ironique il en fit un roman à la fois sentimental et didactique, contenant un large panel des sujets et des thèmes familiers utilisés par les grands romanciers du dix-huitième siècle comme Henry Fielding et Laurence Sterne. L’ouvrage eut un immense succès et connut de nombreuses éditions et traductions. Cette édition se compose du texte dans sa version originale sur la page de gauche et sa traduction en regard ; chaque page comprend un cadre de deux filets noirs. 

Le texte est précédé d’une longue notice où Charles Nodier aborde la vie et les ouvrages de Goldsmith, écrivant à propos du Vicaire de Wakefield qu’il est l’un des chefs-d’œuvre les plus exquis de la littérature.

L’illustration ornant cette édition est en premier tirage, et se compose d’un frontispice contenant le portrait de Goldsmith, gravé sur bois par Andrew Best et tiré sur papier de Chine collé, de plus de cent vignettes sur bois dans le texte, gravées par Andrew Best, Lacoste, Provost, etc. d’après les dessins de C. Jacques, Marville, Janet-Lange, etc. et de 10 planches gravées sur cuivre par W. Finder d’après Tony Johannot. Remarquable exemplaire dans une agréable reliure de Champs, complet de toutes les serpentes légendées qui manquent souvent, et de la couverture dont le second plat est illustré d’une vignette de Janet-Lange. – Couverture restaurée et renforcée, quelques frottements au dos.
 600